Tabac, alcool, cannabis, cocaïne… Le vécu fort d’un thérapeute à votre service à Grenoble et Meylan
► Addictions : Je n'accompagne pas l'addiction comme un touriste bien informé, mais comme quelqu'un qui connait l'addiction de l’intérieur.
♦ Ce que l’on ne peut pas comprendre sans l’avoir traversé.
Je me souviens de ce "personne" qui m'avait dit, alors que je lui partageais les difficultés que je rencontrais suite aux excès de drogues qui avaient transcendé (il y a des transes positives et des transes négatives) une partie de ma jeunesse... Je me souviens de ce "monsieur je-sais-tout" qui m'avait lancé :
"Je savais que c'était comme ça. C’est pour ça que je n’en ai jamais pris."
Une phrase banale, mais d'une platitude consternante. Car que pouvait-il savoir, de ce que j'avais vécu ? L’expérience était inexplicable, inimaginable, et ne ressemblait à rien de ce qu’il avait pu connaître dans sa vie.
Oui, le résultat des excès, quels qu’ils soient, est rarement positif. Mais à part ça : que pouvait-il savoir ?!
Aujourd’hui, je suis hypnothérapeute à Grenoble et à Meylan, spécialisé dans le traitement des addictions, du stress et de l’angoisse.
Mais avant d’accompagner ceux qui viennent me voir dans mon cabinet d’hypnose thérapeutique à Meylan ou à Grenoble, j’ai moi-même traversé la complexité du phénomène addictif.
J’avais plongé dans ce que les médecins appellent la multitoxicomanie.
Et si je vous en parle aujourd’hui, ce n’est pas en tant qu’observateur.
C’est en tant qu’ancien usager, explorateur… survivant.
♦ La quête qui devient piège
Quand on cherche à explorer la conscience, on devient audacieux. Puis, on cherche à fuir le mal-être… et on devient ingénieux. Et par inadvertance, on devient accro.
Dans ma jeunesse, j’ai expérimenté une grande variété de substances addictives.
Pas par désespoir au départ, mais par quête :
quête de conscience, de vérité, de sensation, d’intensité, de présence, d’absolu.
Ce que j’ai vécu n’était pas une dérive – au début.
C’était une philosophie, une manière d'explorer l’intérieur, l’invisible.
Jusqu’à ce que cela devienne un quotidien, puis une angoisse, puis une emprise.
J’ai connu :
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Les stimulants (cocaïne, amphétamines…) : pour se sentir invincible, vif comme l’éclair, surhumain.
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Les hallucinogènes (LSD, champignons...) : pour voyager dans l’invisible, dans les couches profondes de l’inconscient, dans une transe mystique.
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Les empathogènes (ecstasy, MDMA…) : pour ressentir un amour pur, une joie nue, une euphorie artificielle.
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Les opiacés (héroïne…) : pour s’anesthésier, éteindre l’angoisse, suspendre la douleur, dissoudre l’âme dans le silence.
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L’alcool, évidemment, toujours là. Pas uniquement festif. Mais aussi, comme les opiacés, pour apaiser l’angoisse.
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Le cannabis, quotidien, enveloppant, un cocon mental accessible.
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La cigarette, fidèle soutien logistique du quotidien, toujours là dans chaque péripétie.
Toutes ces substances formaient un système d’addiction, un équilibre chimique artificiel, instable, fragile, et de plus en plus coûteux émotionnellement.
Et ceux qui l’ont vécu le savent : la frontière entre l’extase et l’angoisse est parfois infime.
⚖️ La bascule vers le chaos… puis vers la reconstruction
Et puis un jour…
Tout cela n’a plus eu de sens.
L’angoisse avait pris le dessus.
Je ne vivais plus. Je tenais. De justesse...
À l’époque, je ne connaissais pas encore l’hypnose thérapeutique.
Alors la sortie a été longue. Laborieuse.
Douleur lente. Brouaha intérieur. Absence d’intensité.
Avant de retrouver le goût des petites choses, des plaisirs simples, il m’a fallu du temps. Du courage. De la patience.
Et, je crois, une forme de foi.
Aujourd’hui, et depuis longtemps maintenant, je suis libre. Et surtout :
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Je ne ressens plus aucun besoin.
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Je ne ressens plus aucune attirance.
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Même en soirée, même dans la nostalgie… ça n'a plus de place dans ma vie.
Je peux boire un verre, ou deux, oui. Rarement plus. Pour l’instant partagé. Et ça s’arrête là.
Le reste n’a plus de place.
Je ne dirait même pas que c'est un soulagement, c'est comme ça c'est tout. Et la vie est chouette.
♦ Accompagner l’addiction avec l’hypnose intégrative à Grenoble et Meylan
Parce que j’ai traversé cela, je crois que je comprends mieux que personne ce que vivent mes patients.
Et en 11 ans de pratique dans mes cabinets d’hypnose à Grenoble et Meylan, j’ai accompagné plusieurs milliers de personnes à se libérer des addictions.
J’aide les personnes qui souhaitent sortir :
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de l’addiction au tabac
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de l’addiction au cannabis
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de l’addiction à l’alcool
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des consommations excessives de drogues (cocaïne, héroïne, MDMA, etc.)
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de la dépendance affective ou sexuelle
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des troubles du comportement alimentaire
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des compulsions (écrans, jeux, travail…)
Mon approche est intégrale et personnalisée :
elle prend en compte le corps, les émotions, l’inconscient, les besoins profonds, les mémoires, la biographie.
Et surtout, elle repose sur la bienveillance, l’absence totale de jugement, et la compréhension sincère des mécanismes de l’addiction.
♦ Se libérer d’une addiction, c’est possible
Si vous vivez à Grenoble, Meylan ou dans les alentours (Isère, Grésivaudan, agglomération grenobloise) et que vous cherchez un accompagnement thérapeutique pour sortir d’une addiction, je suis là.
Vous avez le droit de changer.
Le droit de sortir du cycle.
Et d’être accompagné par quelqu’un qui sait de quoi il parle.
► Prenez rendez-vous dans l’un de mes deux cabinets d’hypnose spécialisés dans les addictions à Grenoble et à Meylan.
Grégory – Hypnothérapeute Grenoble & Meylan
Spécialiste des addictions, du stress et de la reconnexion à soi