L’énigme des addictions : si différentes, et pourtant…
L’énigme des addictions…
On imagine souvent l’addiction comme une histoire de “drogues dures”, de consommation débridée.
Et c’est ce que je vous ai partagé, parce que c’est ce que j’ai moi-même traversé.
Mais dans mon cabinet d’hypnose à Grenoble et Meylan, les histoires d’addiction sont infiniment variées.
Des histoires d’addictions très différentes
Un jour, j’ai reçu un médecin. Accès illimité à tous les médicaments, gratuitement.
Il m’avoua avec un sourire amer :
— « Je suis devenu un vrai junkie… c’est trop facile de me médicamenter pour tout : ce que je veux éviter de ressentir, comme ce que je veux choisir de ressentir. »
Une autre personne ne pouvait plus s’endormir sans ses anxiolytiques.
Chaque pilule était devenue un bouclier.
Elle ne savait plus si elle apaisait une angoisse… ou si elle nourrissait simplement l’angoisse dont la pilule était devenue une composante.
Une femme m’a confié avoir développé une addiction au porno.
Ce n’était pas son histoire auparavant. Elle n’avait jamais été attirée par la pornographie, bien au contraire.
C’est arrivé tard, soudainement… comme si quelque chose avait basculé dans sa vie intime.
Et puis, il y a eu cet homme qui buvait.
Pas dans le désordre, mais dans un rituel parfaitement organisé :
même contexte, même heure, mêmes verres, le même geste répété… jusqu’à la perte de conscience.
Enfin, cette personne qui a lâché son obsession pour la nourriture dès la première séance d’hypnose.
Elle m’a écrit un long mail pour m’expliquer que c’était une libération…
mais qu’en retrouvant le vide face à elle-même, elle ne savait plus qui elle était.
Ce que toutes ces addictions ont en commun
À première vue, ces histoires n’ont rien en commun.
Et pourtant, si.
Dans toutes les addictions, il y a une même mécanique : la dualité intérieure.
La personne consciente et raisonnable, qui vient me consulter, veut arrêter.
Mais face à l’addiction, ses bonnes résolutions s’effondrent.
La volonté, le désir de vivre, n’y suffisent pas.
Et la culpabilité aggrave encore le conflit.
C’est un conflit permanent, une guerre invisible, qui épuise et détruit.
Comment l’hypnose thérapeutique accompagne ces conflits
En hypnose, on ne cherche pas à écraser la partie “qui s’accroche”.
Pas à lui dire : « ferme ta gueule, maintenant c’est fini ! » comme le fait trop souvent la volonté consciente.
Au contraire.
La partie qui maintient l’addiction doit être entendue, comprise.
Elle ne fait pas ça pour rien.
Il faut reconnaître son intention : anesthésier, stimuler, protéger, oublier…
Alors seulement, elle peut trouver une autre voie.
Un chemin où il n’y a plus de lutte, mais une réconciliation.
Et souvent, cela passe aussi par la paix avec soi, la libération d’un passé qui n’a plus à venir perturber le présent.
Hypnose et addictions à Grenoble et Meylan
C’est là que commence la vraie liberté.
Quand on atteint cet équilibre où l’on n’a plus besoin de chercher ailleurs ce qui rend heureux.
Est-ce que cela ne suffit pas… d’être vivant ?
De VIVRE vraiment ?
De respirer.
Et de sentir l’énergie d’un mouvement perpétuel, spontané,
dans un quotidien choisi en conscience.
Dans mes cabinets d’hypnothérapie à Grenoble et Meylan, j’accompagne depuis plus de 11 ans des centaines de personnes dans leur libération des addictions :
-
tabac, alcool, cannabis, cocaïne, héroïne, médicaments,
-
addictions comportementales : porno, nourriture, écrans, jeux, travail…
Chaque parcours est unique.
Chaque accompagnement est personnalisé.
Et si vous aussi, vous êtes concerné(e), sachez qu’un chemin vers la liberté existe.
Prendre rendez-vous en hypnose à Meylan ou Grenoble